L'impact le plus notable s'est fait sentir sur les transports.

La SNCF a dû prendre des mesures face à ce qu'elle a qualifié de "conditions climatiques exceptionnelles". La principale disposition a été de réduire la vitesse des trains sur plusieurs lignes pour garantir la sécurité des voyageurs. Cette décision a entraîné des retards en cascade sur la quasi-totalité du réseau TER en Auvergne, affectant directement les liaisons avec Lyon. Par exemple, la ligne Lyon-Clermont a enregistré des retards de l'ordre de 25 minutes. Bien que les dégâts matériels majeurs semblent avoir été évités dans l'agglomération, cet épisode météorologique illustre la vulnérabilité des infrastructures de transport face à des phénomènes climatiques de plus en plus intenses.