La requête sera examinée le 4 novembre par le tribunal judiciaire de Paris. Le concept du restaurant lyonnais présente des similitudes avec celui de Narbonne, proposant une formule à volonté de cuisine lyonnaise et de rôtisserie, bien qu'à un tarif inférieur (39 euros contre 65,90 euros à Narbonne). Cette action en justice survient dans un contexte difficile pour l'établissement lyonnais, qui, depuis son ouverture, a fait face à des difficultés opérationnelles, le contraignant à fermer pour les services du midi malgré une forte demande de réservations.
De plus, sa crédibilité a été entachée par une vague d'avis négatifs de clients se plaignant de la faible qualité des plats.
La combinaison d'un démarrage commercial compliqué et d'un litige juridique pour utilisation d'une marque notoire place le restaurant lyonnais dans une position particulièrement précaire. L'issue du procès sera déterminante non seulement pour l'avenir de l'établissement lyonnais, mais elle pourrait également servir de jurisprudence sur la protection des noms et concepts dans le domaine de la restauration en France.





