Le maire sortant, Grégory Doucet, a lancé sa campagne pour un second mandat aux côtés d'une « union de la gauche et des écologistes », incluant le Parti Socialiste, le Parti Communiste Français et Place Publique. Cette alliance cherche à capitaliser sur le bilan de la municipalité actuelle. Cependant, cette union est marquée par l'absence de La France Insoumise (LFI), qui, suivant une stratégie nationale, présente sa propre candidate, la députée Anaïs Belouassa-Cherifi. Lors de son premier meeting, celle-ci a promis la « réquisition des logements vacants » et a vivement critiqué la majorité écologiste, tout en attaquant frontalement Jean-Michel Aulas, qualifié de « Guignol de la droite et de la Macronie ». De son côté, l'ancien président de l'Olympique Lyonnais, Jean-Michel Aulas, a réussi à unifier la droite et le centre, avec le soutien de LR, Renaissance et du Modem.

Très actif sur le terrain, il multiplie les apparitions publiques.

Les sondages le créditent d'une avance considérable, avec 47 % d'intentions de vote, loin devant Grégory Doucet (24 %).

Ce dernier reconnaît que « le match sera serré » et que sa campagne devra être une « campagne de conquête ».