Didier Caudard-Breille, dirigeant du groupe DCB International, a révélé dans un entretien avoir des "discussions saines et avancées" avec la collectivité concernant ce projet.
La nouvelle tour envisagée aurait une hauteur de 125 à 140 mètres, une dimension revue à la baisse par rapport aux ambitions initiales du promoteur. Cette potentielle autorisation de construire par une majorité écologiste, traditionnellement sceptique voire opposée à ce type de développement vertical, est significative. La Métropole de Lyon a toutefois rappelé que son accord était conditionné au respect de plusieurs critères. Bien que les détails de ces conditions ne soient pas entièrement spécifiés dans les articles, cette ouverture au dialogue suggère la recherche d'un compromis entre les objectifs de développement économique du quartier d'affaires et les impératifs écologiques et urbanistiques de la majorité en place. Le projet, s'il se concrétise, viendrait encore modifier la skyline de Lyon et confirmer le statut de la Part-Dieu comme principal centre d'affaires de la métropole, tout en testant la flexibilité de la politique d'urbanisme des écologistes.










