En réponse, l'État a organisé le 7 novembre un comité pour définir l'avenir des fonds alloués.
La volonté affichée est une redistribution intégrale de l'enveloppe financière vers des initiatives alternatives. Ces nouveaux projets devront s'inscrire dans une logique de développement durable, touchant à la production d'énergie renouvelable, à la gestion des ressources en eau et à la promotion du transport fluvial, une alternative moins polluante au transport routier.
Cette décision marque un tournant, privilégiant une approche plus diversifiée et potentiellement mieux acceptée localement, par opposition à un grand projet d'infrastructure unique et contesté.
Le redéploiement des fonds sera un enjeu majeur pour le développement de la région dans les années à venir, avec l'objectif de concilier besoins économiques et impératifs environnementaux.











