Selon les syndicats SUD SDMIS et CGT, les engagements pris n'ont pas été respectés.

"Depuis l’année dernière, on a eu 15 postes de créés, ce qui en réalité n’est pas un dixième des postes nécessaires", explique Rémy Chabbouh de SUD SDMIS.

Les pompiers se sentent oubliés par leurs financeurs, la Métropole de Lyon (à 80 %) et le Département du Rhône (à 20 %).

Face à ce qu'ils considèrent comme une impasse, les syndicats n'excluent pas un durcissement du mouvement, avec des actions possibles durant la Fête des Lumières, comme ce fut le cas l'an dernier. Des élus écologistes sont venus à leur rencontre, évoquant des contraintes budgétaires, une réponse jugée insuffisante par les grévistes.