Cette perspective économique réjouissante est toutefois nuancée par des voix critiques.

François Gaillard, qui a dirigé le tourisme lyonnais pendant 17 ans et soutient désormais le candidat Jean-Michel Aulas, a déploré un manque de renouvellement dans la programmation et la stratégie de l'événement. Il qualifie la situation actuelle d'"aveu d'échec", suggérant que la Fête pourrait perdre de son éclat artistique malgré sa popularité grandissante. Ce débat met en lumière la tension entre la gestion d'un événement de masse aux retombées économiques considérables et la nécessité de préserver une ambition créative et innovante.