Une grève illimitée avait déjà eu lieu l'année précédente, menant à un accord provisoire en février.

Cependant, les syndicats estiment que les engagements n'ont pas été respectés.

Selon Rémy Chabbouh, secrétaire national de SUD SDMIS, seuls 15 postes ont été créés, ce qui est "pas un dixième des postes nécessaires pour couvrir le respect du règlement opérationnel".

Les syndicats déplorent un manque de considération de la part de leurs financeurs, la Métropole (à 80 %) et le Département (à 20 %). Face à cette situation, ils n'excluent pas un durcissement du mouvement, avec de possibles actions lors de la Fête des Lumières pour se faire entendre, comme ce fut le cas l'an dernier.