Cet "appel des 100 premiers citoyens pour une union progressiste solidaire et ouverte" vise à provoquer un "sursaut citoyen et progressiste".

Parmi les signataires figurent des noms issus de divers horizons, tels que l'ancien président de la Métropole David Kimelfeld, le cancérologue Thierry Philip, le patron d'Arty Farty Vincent Carry, et l'ancien directeur de l'Aderly Jacques de Chilly.

Le texte, tout en affirmant que "beaucoup a été fait" et que "nombre d’engagements ont été tenus", adopte un ton nuancé. Il met l'accent sur les défis sociaux, comme les "tensions sociales" et le "coût de la vie", et appelle Bruno Bernard et sa majorité à "poursuivre leur action tout en rassemblant et renforçant leur exigence de transparence, d’écoute et de proximité".

Cette approche est perçue comme une reconnaissance implicite des critiques sur une gouvernance parfois jugée trop verticale durant le mandat.

En évitant de mettre en avant l'étiquette "Ecologistes" et en privilégiant les thèmes de la solidarité et du dialogue, les soutiens de Bruno Bernard cherchent à construire une coalition large et à recentrer le débat sur des enjeux concrets pour contrer l'opposition.