Estimant que les faits pouvaient constituer une infraction, elle a saisi le procureur de la République, qui a confirmé l'ouverture d'une enquête. De son côté, Julien Théry a assumé son post tout en dénonçant une "manipulation de la Licra" qui aurait, selon lui, sorti sa liste de son contexte. Cet événement s'ajoute à une série de tensions au sein de l'établissement. Il fait suite à d'autres incidents, comme l'interruption du cours d'un autre enseignant traité de "sioniste" et de "génocidaire" par des militants, ce qui avait conduit le professeur à dénoncer le "laxisme de la présidence".