Sa principale opposante, Véronique Sarselli, a réagi à son annonce en déclarant qu'il ferait "mieux de présenter ses excuses", citant un sondage qui indiquerait 65 % d'insatisfaction.

La campagne s'annonce donc comme un référendum sur le bilan de la majorité écologiste, entre la défense de politiques de transition écologique et sociale et les reproches d'une gestion jugée idéologique et déconnectée des préoccupations quotidiennes par ses adversaires.