L'enseignant était déjà dans le viseur pour avoir relayé des propos controversés, notamment l'expression "génocidaires à boycotter".

La situation s'est aggravée avec la révélation du partage, sur son compte Facebook, d'une caricature considérée comme antisémite, plaçant de nouveau le professeur dans "l'œil du cyclone".

L'université, qui était restée silencieuse sur ce dernier point, a finalement agi en prononçant cette suspension.

L'affaire soulève des questions complexes sur la liberté d'expression en milieu universitaire et la lutte contre les discours de haine.