Si l'événement reste un rendez-vous populaire majeur, plusieurs installations et aspects organisationnels ont suscité la déception du public et des polémiques.
Qualifiée d'édition "festive et… austère" en raison d'un budget en baisse, la fête a vu certaines de ses œuvres centrales vivement critiquées.
La place Bellecour a été décrite comme un "fiasco" où "il n'y a rien", tandis que l'œuvre projetée sur la place des Terreaux a également désolé de nombreux spectateurs. Sur le plan organisationnel, le spectacle de drones au parc de la Tête d'Or a généré une forte frustration : des milliers de personnes se sont retrouvées face à des portes fermées dès 22h, créant une immense file d'attente et un sentiment d'incompréhension. Une panne sur la ligne A du métro après minuit a ajouté aux difficultés, forçant de nombreux visiteurs à rentrer à pied. L'impact économique s'est avéré inégal : alors que l'hôtellerie et la restauration ont profité de l'affluence, certains commerçants de la Presqu'île ont qualifié le week-end de "pire week-end" en raison des contraintes de sécurité.
L'événement a aussi été le théâtre d'un "clash" politique, Jean-Michel Aulas exprimant sa frustration, ce qui a provoqué une réplique du camp du maire Grégory Doucet.
À l'inverse, des installations moins centrales, comme celle de la Manufacture des Tabacs, ont été saluées comme une réussite, notamment pour les familles cherchant à éviter la foule.







