Ce mécontentement a été exploité sur le plan politique.

Jean-Michel Aulas, ancien président de l'Olympique Lyonnais et potentiel acteur des prochaines élections, s'est dit "frustré" et a exprimé son souhait d'"élever" la fête, critiquant implicitement la gestion de la municipalité écologiste.

Le camp du maire Grégory Doucet a vivement réagi, accusant Aulas de proximité avec l'extrême droite. L'événement a également connu un couac organisationnel majeur avec une panne de la ligne A du métro le dernier soir, contraignant de nombreux spectateurs à rentrer à pied.

Cet incident, s'ajoutant aux critiques artistiques, a terni le bilan d'une édition qui, malgré son succès populaire, a révélé des tensions et des faiblesses.