Dans ce contexte pré-électoral, les acteurs socio-économiques, comme l'UMIH, commencent également à interpeller les futurs candidats sur leurs priorités.
Le président écologiste de la Métropole, Bruno Bernard, a officialisé sa candidature à un second mandat et a rapidement marqué le terrain avec des propositions d'envergure, comme celle d'un métro fonctionnant 24h/24 le week-end. De son côté, Cédric Van Styvendael, maire socialiste de Villeurbanne, deuxième ville de l'agglomération, a également annoncé sa candidature, dévoilant ses premières mesures et se positionnant comme un acteur clé du scrutin à venir. Cette entrée en campagne précoce des principales figures de la majorité actuelle préfigure un débat intense sur le bilan du mandat et les orientations futures de la métropole. Parallèlement, la société civile et les corps intermédiaires commencent à se mobiliser.
L'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie (UMIH) du Rhône a publié un livre blanc destiné aux candidats.
L'organisation professionnelle les appelle à collaborer sur des thèmes cruciaux comme la sécurité, le développement économique et la qualité de vie, sous le mot d'ordre : "Travaillons ensemble pour que Lyon reste une ville où il fait bon vivre, bon manger, bon sortir et bon travailler". Les enjeux de la future campagne se dessinent ainsi autour des grands projets urbains, de la mobilité, de l'attractivité économique et du cadre de vie.







