De son côté, l'exécutif métropolitain réfute toute idée d'un "arrêt généralisé". Le vice-président Renaud Payre a confirmé la tenue de réunions de coordination mais a nié toute tension exacerbée, affirmant que les deux tiers des chantiers ont été autorisés, représentant un volume d'affaires de 10 millions d'euros.

La Métropole explique avoir simplement demandé de retarder certaines interventions non urgentes, comme elle le fait chaque année en décembre et janvier.

Cette divergence d'interprétation témoigne d'une profonde méfiance, le secteur du BTP se sentant "pris en étau" entre les impératifs économiques et un calendrier politique incertain.