Les critiques se sont concentrées sur des projets jugés tardifs et opportunistes.
Le projet de requalification de la rive droite du Rhône a notamment été pris pour cible par Jean-Michel Aulas, qui a déclaré qu'il arrivait "comme par enchantement en fin de mandat, sans financements particuliers". Cette stratégie d'attaque vise à dépeindre les annonces de la majorité comme des mesures de campagne plutôt que comme une gestion planifiée.
En réponse, la majorité écologiste ne reste pas inactive. Face au "plan fraîcheur" et au projet de "forêt urbaine" présentés par Jean-Michel Aulas, la Métropole a répliqué en dénonçant des "chiffres surprenants", mettant en doute la faisabilité et le sérieux des propositions de l'opposition.
Cet échange d'amabilités illustre une crispation croissante et une polarisation du débat public.
Chaque camp cherche à discréditer les initiatives de l'autre, transformant les dossiers techniques comme le budget ou les projets d'aménagement urbain en arènes politiques en vue de l'échéance électorale.







