Ce nouveau chapitre judiciaire est très attendu par les familles des victimes et une ville encore traumatisée par le drame de 2018.

Le procès se tiendra du 2 novembre au 19 décembre 2026.

Cette audience fait suite au premier jugement où dix personnes avaient été condamnées, dont trois à des peines de prison ferme.

Les articles rappellent la tragédie du 5 novembre 2018, qui a coûté la vie à huit personnes.

La décision du parquet de faire appel des peines initiales suggère une recherche de responsabilités plus sévères. La programmation du procès à une date aussi lointaine souligne la complexité et la longueur de la procédure judiciaire dans une affaire de cette ampleur.

Un article note de manière poignante qu'alors qu'il n'a fallu que quelques secondes pour que les immeubles s'effondrent, il en faudra bien plus "pour panser les plaies des proches des huit victimes et d’une ville traumatisée".

Ce procès ne se limite pas à la responsabilité juridique ; il symbolise la lutte continue contre l'habitat indigne à Marseille et met à l'épreuve la capacité de la ville à rendre justice.

Son issue sera perçue comme un indicateur des progrès réalisés sur cette question sociale critique.