L'affaire, qui a suscité une indignation nationale après la diffusion massive des images, entre dans une nouvelle phase judiciaire avec l'ouverture de deux enquêtes.
La plainte a été déposée le 22 octobre, environ un mois après les faits.
La vidéo de l'agression est devenue virale, ayant été visionnée "plusieurs dizaines de millions de fois". Selon son avocat, la plainte vise des faits de "violences en réunion" commis par "des personnes dépositaires de l’autorité publique". Cette action en justice formalise la démarche de la victime pour obtenir justice et que les responsables rendent des comptes. Les articles confirment que deux enquêtes distinctes sont désormais ouvertes pour examiner le comportement des policiers impliqués.
Ce cas est devenu emblématique du débat sur les violences policières lors des manifestations en France.
La grande visibilité de l'incident, due à la vidéo virale, exerce une pression considérable sur le système judiciaire pour qu'il mène une enquête approfondie et transparente. Le dénouement de cette affaire sera suivi de près et pourrait avoir des répercussions sur les règlements d'intervention de la police et la confiance du public dans les forces de l'ordre.







