Au-delà de la controverse sur la censure, cet épisode révèle un conflit plus large concernant la gestion du château de la Buzine. Depuis que la ville en a repris la gestion directe en 2023, mettant fin à la délégation de service public de l'association de Nicolas Pagnol, des critiques émergent sur un supposé manque d'entretien et une baisse de 40 % de la fréquentation. L'annulation du film est ainsi perçue par l'opposition comme un symptôme d'une "gestion autoritaire" et d'une dévalorisation de ce lieu emblématique.