Cette découverte renforce l'idée que Marseille a détenu un quasi-monopole sur le commerce du vin dans la région pendant plusieurs siècles.

Des amphores marseillaises, reconnaissables et parfois estampillées, ont été retrouvées jusqu'en Bourgogne et même dans le sud de l'Allemagne actuelle.

Ce n'est qu'à partir du IIe siècle avant notre ère que les vins italiens ont commencé à supplanter la production massaliote.

Cette trouvaille historique fera l'objet de discussions approfondies lors d'un colloque scientifique à Montpellier fin novembre.