Sa campagne est fortement axée sur la sécurité, avec des propositions ambitieuses pour la police municipale.

Un sondage de l'institut Cluster17 a créé un "séisme" politique en plaçant Franck Allisio à égalité avec Benoît Payan au premier tour, avec 29% des intentions de vote chacun.

Cette dynamique positionne le parti d'extrême droite comme un prétendant sérieux à la victoire.

La stratégie de Franck Allisio repose sur un discours de "remise en ordre" de Marseille.

Il a déclaré que son "adversaire, c’est Benoît Payan" et qu'avec lui, "en mars, le laxisme et l’impunité, c’est fini".

Sa proposition phare est de faire de la police municipale de Marseille "la plus grande de France", en augmentant ses effectifs à 2 000 agents d'ici la fin de son mandat et en créant un poste de police par arrondissement. Le coût de cette mesure est estimé entre 70 et 80 millions d'euros, qu'il compte financer en coupant les subventions aux "associations amies" et en réalisant un audit des finances de la ville. Le candidat a également mené des actions symboliques, comme repeindre un drapeau palestinien tagué sur un bunker de la Seconde Guerre mondiale aux Goudes.