Les articles mettent en lumière une forme de "résistance" face aux effets négatifs du surtourisme.
Le témoignage de José Orsoni, fondateur des Navettes des Accoules, illustre l'esprit de village qui perdure : "Quand je sors le matin, je fais la bise à 50 personnes". Cette forte cohésion sociale est présentée comme un rempart contre la dépersonnalisation que peut entraîner le tourisme de masse. La famille Orsoni est un exemple de réussite locale, ayant su intégrer son activité artisanale au tissu du quartier. Le débat sous-jacent est celui de la gentrification et de la difficulté à maintenir un équilibre entre développement économique lié au tourisme et préservation d'une vie de quartier authentique pour les résidents permanents.










