Selon la mairie, environ 6 000 meublés touristiques seraient exploités en violation de la réglementation dans la ville. Cette offensive judiciaire s'inscrit dans la politique du maire Benoît Payan visant à réguler le marché de la location de courte durée pour préserver le parc de logements destinés aux habitants. Les avocats de la défense ont, pour leur part, plaidé la complexité de la réglementation pour justifier la situation de leurs clients. Ce procès symbolise la volonté de la municipalité de reprendre le contrôle sur son marché immobilier face à la pression exercée par les plateformes de location saisonnière.