Sa réponse, "On verra à ce moment-là", a été interprétée comme un signe d'ouverture.
Martine Vassal a justifié sa position en estimant qu'un tel accord serait décorrélé des enjeux "nationaux", suggérant une approche pragmatique axée sur la politique locale.
Cette déclaration intervient à plus d'un an du scrutin et positionne la candidate de la droite et du centre dans une stratégie d'ouverture qui pourrait redéfinir les alliances politiques traditionnelles à Marseille. Cette posture ambiguë pourrait à la fois lui permettre de rassembler un électorat plus large face à la gauche au pouvoir, mais aussi risquer de fracturer sa propre base politique et celle de ses alliés centristes, pour qui un rapprochement avec l'extrême droite reste une ligne rouge.










