Les faits se sont déroulés dans la nuit du 12 au 13 novembre, mobilisant près de 50 sapeurs-pompiers. Les dégâts matériels sont estimés à plusieurs centaines de milliers d'euros. L'enquête, ouverte pour "destructions par moyen dangereux en bande organisée" et "association de malfaiteurs", a rapidement privilégié la piste criminelle après la découverte d'une effraction dans le grillage de la concession et de plusieurs foyers d'incendie distincts.

Quelques jours plus tard, un message anonyme publié sur une plateforme collaborative "anti-capitaliste, anti-autoritaire et révolutionnaire" a revendiqué l'acte.

Le texte détaille le mode opératoire, expliquant qu'une "plaquette allume-feu posée sur un des pneus avant a suffi".

L'acte est présenté comme une "vengeance" dans le cadre de la "Journée du souvenir Trans". Le choix de la marque Tesla est interprété comme une attaque indirecte contre son dirigeant, Elon Musk, pour ses positions jugées "anti-woke".