Cette petite phrase a immédiatement été interprétée comme une ouverture, voire une rupture du traditionnel "cordon sanitaire" que la droite républicaine maintenait face à l'extrême droite.
La réaction a été instantanée et virulente, déclenchant ce que plusieurs articles qualifient de "tempête politique". Des personnalités politiques de premier plan sont montées au créneau, notamment la secrétaire d'État Sabrina Agresti-Roubache, issue de la majorité présidentielle, qui a déclaré "en appelle(r) à Gabriel Attal" pour clarifier la position de la droite.
Cette polémique intervient dans un contexte où Martine Vassal, candidate DVD soutenue par Les Républicains, cherche à rassembler une opposition large face au maire de gauche Benoît Payan. Ses propos ont été perçus comme un "dérapage contrôlé" pour certains, ou une véritable "sortie de route" pour d'autres, illustrant les dilemmes stratégiques de la droite face à la montée du RN à Marseille et en France. Martine Vassal a par la suite fustigé "l’amateurisme" de "l’extrême droite" à Marseille, sans pour autant éteindre complètement l'incendie provoqué par sa déclaration initiale.











