Élue fin septembre à l'issue d'une "manœuvre politique", elle a présenté fin novembre sa feuille de route.
L'ambition affichée est claire : "Nous voulons un Euroméditerranée vert qui fasse rêver".
Cette vision s'appuie sur une gouvernance se voulant collaborative, qualifiée de "point fort" du projet, qui doit permettre un "travail collectif avec l'État, les collectivités, mais aussi les entreprises, les acteurs associatifs et culturels, ainsi que les habitants". Le projet Euroméditerranée est fondamental pour la transformation de Marseille, car il englobe "de la création de tertiaire qui entraîne du logement derrière, des espaces publics, tout ce qui permet un développement harmonieux de nouveaux territoires". Cependant, lors de la présentation de son programme, la nouvelle présidente a exposé "beaucoup d’idées, de souhaits, de projets… mais rien de concret", laissant les observateurs dans l'attente de détails sur la mise en œuvre de sa vision pour l'avenir de ce périmètre stratégique.











