Les inscriptions, découvertes le 2 décembre, incluaient des messages haineux tels que « La seule église qui illumine est celle qui brûle » et « Si Dieu existe, il faut le buter ». Le sénateur Stéphane Ravier a été l'un des premiers à réagir, dénonçant un acte « christianophobe » et liant la première phrase à des slogans utilisés par des « antifas au lendemain de l’incendie de Notre-Dame de Paris ». Le maire de Marseille, Benoît Payan, a fermement condamné ce « tag haineux », affirmant que « les menaces et la stigmatisation des croyants n’ont pas leur place dans notre ville, quelle que soit leur religion ». Il a annoncé que la municipalité déposerait plainte dès le lendemain. Le diocèse de Marseille a également exprimé sa « grande tristesse », rappelant que « s’en prendre à une église, c’est toucher en plein cœur la communauté catholique ». Le curé de la paroisse a porté plainte et une messe a été organisée pour « réunir et consoler la communauté paroissiale et les habitants du quartier ».