Les inscriptions, découvertes sur un mur latéral de l'édifice situé dans le 4e arrondissement, étaient particulièrement violentes, avec des slogans tels que "La seule église qui illumine est celle qui brûle" et "Si Dieu existe, il faut le buter". Le sénateur Stéphane Ravier a été l'un des premiers à réagir, dénonçant un acte "christianophobe" et soulignant que la première phrase avait déjà été utilisée par des "antifas au lendemain de l'incendie de Notre-Dame de Paris". Le maire de Marseille, Benoît Payan, a fermement condamné ces dégradations, déclarant que "les menaces et la stigmatisation des croyants n'ont pas leur place dans notre ville, quelle que soit leur religion". Il a annoncé que la Ville déposerait plainte dès le lendemain. Le diocèse de Marseille a également fait part de sa "grande tristesse", précisant que le curé de la paroisse avait porté plainte et qu'une messe serait célébrée pour "réunir et consoler la communauté paroissiale". Cet acte a été perçu comme une attaque directe contre la communauté catholique, touchée "en plein cœur", et a généré une condamnation unanime de la part des autorités locales.
Indignation à Marseille après la profanation de l'église des Chartreux par des tags antichrétiens
La découverte de tags "haineux" et "christianophobes" sur la façade de l'église Sainte-Marie-Madeleine des Chartreux a provoqué une vague d'indignation. Cet acte de vandalisme a suscité de vives réactions politiques et religieuses.



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