En se concentrant sur trois établissements spécifiques, elle suggère que les violences sexistes et sexuelles ne sont pas des incidents isolés mais un problème structurel dans certaines parties du secteur.

L'article mentionne l'identification de "grands barons des bars nantais", ce qui laisse entrevoir une concentration du pouvoir et une possible culture managériale défaillante où de tels comportements sont tolérés, voire ignorés. Pour les employés, souvent jeunes et dans des situations précaires, dénoncer ces faits peut s'avérer extrêmement difficile par peur de représailles ou de perdre leur emploi.

Cette investigation journalistique joue un rôle crucial en brisant le silence et en exposant publiquement ces pratiques.

Elle interpelle directement la responsabilité des propriétaires d'établissements, mais aussi des autorités locales, quant à la sécurité et au bien-être des travailleurs de la nuit. L'impact sur la réputation de Nantes, ville connue pour sa vie nocturne animée, pourrait être significatif si des mesures concrètes ne sont pas prises pour assainir le milieu et protéger les victimes.