Le chiffre spécifique de 1,34% des passages aux urgences liés au Covid-19 en Loire-Atlantique, bien que paraissant faible en valeur absolue, représente une pression supplémentaire non négligeable sur des services hospitaliers souvent déjà en tension. Cet indicateur est un signe tangible que le virus continue de circuler activement dans la population nantaise et ses environs, et qu'il provoque des formes suffisamment sévères pour nécessiter une prise en charge d'urgence. L'article contextualise cette situation en rappelant le début, le 14 octobre, de la campagne annuelle de vaccination conjointe contre la grippe et le Covid-19. Cette simultanéité met en évidence la stratégie des autorités sanitaires : utiliser la vaccination comme principal rempart pour éviter une nouvelle vague qui submergerait les hôpitaux, notamment le CHU de Nantes. La mention de la Loire-Atlantique dans cette liste nationale alerte les habitants et les professionnels de santé sur la nécessité de rester vigilants et d'adopter les gestes de prévention recommandés. Cela démontre que, même si la phase aiguë de la pandémie est passée, le Covid-19 reste un enjeu de santé publique majeur qui nécessite une surveillance continue et une adhésion de la population aux campagnes de prévention.