Loin d'être une simple activité solitaire, le puzzle redevient un loisir social et fédérateur.

Selon Deborah Eury, fondatrice de l'association, l'objectif est de "regrouper les gens autour d’une passion commune".

Cette démarche met en lumière un besoin contemporain de se retrouver autour d'activités tangibles, qui favorisent la concentration, la patience et l'échange, en contraste avec la sur-sollicitation des écrans.

L'émergence d'une telle association témoigne que le phénomène dépasse le simple passe-temps domestique pour devenir une véritable pratique collective, avec potentiellement des événements, des échanges et des concours.

Ce renouveau du puzzle peut être analysé comme une forme de "slow life", une quête de déconnexion et de bien-être mental.

L'activité, à la fois méditative et gratifiante, offre un sentiment d'accomplissement tangible une fois la dernière pièce posée.

Le fait que ce mouvement prenne une forme organisée dans l'agglomération nantaise est révélateur du dynamisme associatif local et de la capacité des habitants à se mobiliser autour d'intérêts partagés. Cette tendance, bien que locale, s'inscrit dans un mouvement plus global de retour à des loisirs traditionnels, perçus comme plus authentiques et apaisants.