Cette décision drastique menace "environ 70 postes sur 100", ce qui représente un coût social considérable.

L'un des articles qualifie la situation de "fiasco", pointant une instabilité chronique à la tête de l'agence, avec "quatre directeurs généraux" qui se sont succédé en seulement deux ans. Cette succession rapide de dirigeants suggère des difficultés structurelles ou des désaccords stratégiques profonds bien avant l'annonce de la fermeture. La raison officiellement avancée par la présidente de Région est un "audit financier alarmiste". Cependant, cette justification est contestée par certains observateurs qui y voient plutôt une "nouvelle mesure choc libérale", suggérant une motivation idéologique visant à réduire le périmètre d'intervention de la puissance publique dans l'économie. La disparition de ce "bras armé économique du conseil régional" soulève des questions majeures sur l'avenir de l'accompagnement des entreprises, de l'attraction des investissements et du soutien à l'innovation dans une région pourtant dynamique.