Achevée en 2013, la salle n'a jamais pu ouvrir ses portes, pour des raisons que l'article ne détaille pas.

Le terme "gâchis", repris dans le titre, reflète probablement le sentiment des contribuables face à cette dépense de deux millions d'euros en pure perte.

La démolition, qui représente elle-même un coût supplémentaire, vise à tourner la page de ce fiasco pour réaffecter le terrain à un usage plus productif. La construction future de 31 logements répond à un besoin réel dans une région en forte croissance démographique, mais elle n'efface pas la perte financière initiale. Ce cas d'école sert d'avertissement pour les collectivités locales sur l'importance de la planification, de la prospective et de la gestion rigoureuse des deniers publics. Il soulève inévitablement des questions sur la responsabilité des décideurs politiques et administratifs qui ont mené ce projet à l'impasse.