Néanmoins, les deux articles qui rapportent cette information soulignent unanimement une exception notable à cette tendance.

La baisse des accidents graves ne concerne pas la catégorie des piétons. Les textes ne fournissent pas de statistiques détaillées ni d'explications sur les raisons de cette stagnation ou aggravation pour les marcheurs, mais le constat met en évidence un défi persistant pour la politique de sécurité routière de la ville, qui doit encore renforcer la protection de ses usagers les plus exposés.