Ce vol s'inscrit dans une série d'attaques contre les institutions culturelles françaises, soulignant leur vulnérabilité.
Le vol a eu lieu mi-septembre 2025 dans la galerie de géologie et de minéralogie du site du Jardin des Plantes.
Les voleurs se sont introduits par effraction et ont emporté plusieurs spécimens d'or natif, c'est-à-dire l'or sous sa forme naturelle, issus des collections nationales.
Le musée a estimé la valeur brute de l'or dérobé à environ 600 000 euros, tout en insistant sur la « valeur patrimoniale inestimable » de ces pièces pour la recherche et le patrimoine.
Cet événement est mentionné dans plusieurs articles traitant du vol au Louvre comme un exemple de la recrudescence des cambriolages visant les musées.
Il démontre que les criminels ne ciblent pas uniquement les œuvres d'art mondialement connues, mais aussi des collections scientifiques pour leur valeur matérielle, exposant ainsi une plus large gamme d'institutions à des risques de sécurité accrus.






