Ces faiblesses étaient connues de la direction.

En janvier 2025, sept mois avant le vol, l'administrateur général du Louvre, Kim Pham, alertait déjà le Sénat sur « l'état défectueux, parfois délabré de nos équipements ».

Laurence des Cars a elle-même évoqué des caméras périphériques « vieillissantes » et un parc insuffisant.

Les vitrines de la galerie d'Apollon, bien que de « haute qualité », n'étaient pas conçues pour résister à une attaque à la disqueuse, un mode opératoire qui n'avait « pas été envisagé » lors de leur installation en 2019.

La sécurité périmétrique est identifiée comme le principal point faible, ce qui a permis aux voleurs d'approcher le bâtiment avec une nacelle sans être détectés à temps.