L'affaire soulève des questions sur une possible ingérence étrangère visant à déstabiliser l'opinion publique.
Le tribunal a condamné les quatre individus à des peines allant de deux à quatre ans d'emprisonnement ferme pour avoir réalisé ces tags sur le Mémorial, un acte qui avait profondément choqué. Le procès, qui s'est tenu fin octobre, a été suivi de près en raison de son contexte particulier.
Les enquêteurs et les observateurs ont rapidement soulevé l'hypothèse d'une manipulation orchestrée depuis l'étranger.
Cette piste de l'ingérence étrangère a plané sur l'ensemble des débats, transformant ce qui aurait pu être un simple cas de vandalisme en une affaire aux implications géopolitiques. Les motivations exactes des auteurs et de leurs potentiels commanditaires restent au cœur des préoccupations. La condamnation des exécutants marque une étape judiciaire importante, mais elle ne clôt pas le chapitre des investigations sur les ramifications de cette affaire. L'acte de profanation du Mémorial, lieu de mémoire et de recueillement, a été perçu comme une attaque symbolique forte, et la réponse judiciaire se voulait à la hauteur de la gravité des faits.






