L'enquête judiciaire progresse avec plusieurs interpellations.

Les suspects ne sont pas des figures du grand banditisme, mais plutôt « des gens de proximité, de Seine-Saint-Denis pour la plupart ».

L'ADN de l'un d'eux a été identifié sur une vitrine brisée.

L'un des mis en examen, déjà connu pour des vols aggravés, devait d'ailleurs comparaître pour des dégradations commises dans un commissariat lors d'une précédente affaire.

Malgré ces avancées, le butin reste introuvable, et l'affaire continue de mobiliser une centaine d'agents de la Brigade de répression du banditisme (BRB) et de l'Office central de lutte contre le trafic des biens culturels (OCBC).