Déjà condamné pour des vols aggravés, il était sous contrôle judiciaire pour une autre affaire au moment des faits. Par une coïncidence judiciaire, ce suspect devait comparaître le 5 novembre pour une affaire mineure et sans rapport, concernant la dégradation d'un miroir dans un commissariat en 2019. En réponse à cette faille de sécurité, la direction du Louvre a présenté des "mesures d'urgence" lors d'un conseil d'administration extraordinaire pour renforcer ses protocoles.

Le président Macron a publiquement affirmé sa conviction que "les bijoux seront retrouvés".

Néanmoins, le butin, qui comprend notamment le collier de saphirs de la reine Marie-Amélie, n'a toujours pas été localisé. L'enquête se poursuit activement avec près d'une centaine d'agents de la BRB et de l'OCBC mobilisés pour démanteler l'ensemble du réseau.