Dès les premiers signalements par des familles, l'académie de Paris a réagi promptement en écartant les enseignants concernés.

Le premier cas, signalé le 14 octobre dans une école du 10e arrondissement, a mené à une suspension le jour même et à une saisine du parquet. Une cellule psychologique a été mise en place et une réunion d'information organisée pour les parents deux jours plus tard, démontrant la volonté des autorités de gérer la situation avec transparence et de fournir un soutien aux familles ébranlées. Des cas similaires ont été rapportés dans une école du 20e arrondissement, où une enseignante a été suspendue le 30 septembre, et dans un autre établissement du 19e.

Ces affaires successives soulèvent une vive inquiétude au sein de la communauté éducative et parentale parisienne. Elles mettent en lumière la vigilance des familles et la rapidité des procédures administratives lorsque la protection de l'enfance est en jeu. Les enquêtes en cours devront déterminer la véracité des faits et établir les responsabilités, tandis que le rectorat assure prendre toutes les mesures nécessaires pour garantir la sécurité et le bien-être des élèves au sein de ses établissements.