Des collectifs de parents et des syndicats dénoncent un manque de moyens et des failles structurelles dans la gestion du personnel périscolaire. Ils pointent du doigt une situation qui met en péril la sécurité des enfants et demandent à la municipalité d'admettre ses responsabilités. La mobilisation vise à obtenir des mesures concrètes pour améliorer le recrutement, la formation et l'encadrement des animateurs, ainsi que des protocoles plus clairs et plus efficaces pour le signalement et le traitement des cas de violences. Ces événements jettent une lumière crue sur les défis auxquels la Ville est confrontée pour assurer la protection des plus jeunes et placent la majorité sortante dans une position délicate à l'approche des élections municipales.