L'annonce, jugée décalée par le conseiller immobilier qui l'a publiée, a rapidement fait le tour des réseaux sociaux et des médias, provoquant l'indignation et l'ironie.
Au-delà de son aspect insolite, cette affaire met en lumière les excès d'un marché où la demande est si forte que même les plus petites surfaces, non destinées à l'habitation, peuvent être valorisées à des prix exorbitants, soit 7 000 euros le mètre carré. Elle illustre la difficulté croissante de se loger dans la capitale et la pression subie par les acquéreurs potentiels. Cet exemple frappant alimente le débat public sur la nécessité d'une meilleure régulation du marché immobilier et sur la protection contre les annonces trompeuses qui exploitent la pénurie de logements à Paris.










