Son projet vise à construire un "Nouveau Paris populaire" en se concentrant sur le logement, avec un plan pour baisser les loyers, et sur l'éducation, avec la création d'un service d'"éducation communale parisienne".
Cette candidature acte la division de la gauche dès le premier tour, bien que la porte reste ouverte aux Écologistes pour une fusion au second tour.
De son côté, Rachida Dati attaque frontalement le bilan socialiste, dénonçant "25 ans de dégradation et de déclin" et promettant aux Parisiens "une ville où l'on pourra circuler librement".
La mobilité et la protection des piétons s'imposent ainsi comme des thèmes centraux de la campagne, au même titre que la crise du logement, sur laquelle tous les candidats formulent des propositions.
Le paysage politique est également marqué par des fragmentations, comme l'annonce par Aymeric Caron (REV) de présenter un candidat face à Danièle Obono (LFI) dans le 18e arrondissement, après l'échec d'un accord.
La campagne s'engage donc sur des lignes de fracture claires, entre continuité, opposition frontale et recherche d'alternatives à gauche.











