Elle met en cause la baisse des dotations de l'État et le système de péréquation qui oblige la région à reverser 1,2 milliard d'euros aux territoires plus pauvres, un mécanisme qu'elle avait pourtant voté en 2003. Elle affirme avoir dû stopper 750 millions d'euros de projets en 2024 et menace de couper davantage dans les investissements si le gouvernement n'augmente pas ses contributions. Des articles analysent également les dépenses de la région, questionnant la pertinence de certains financements, comme les 150 millions d'euros d'aides à l'achat de vélos, dans un contexte budgétaire contraint.