Cette situation est décrite par le maire d'arrondissement comme une "lente dégringolade" directement liée aux problèmes d'insécurité persistants.

Les articles décrivent un environnement anxiogène, marqué par un "marché à ciel ouvert de crack, de mendicité et de prostitution". Des salariés de BNP Paribas témoignent de leur quotidien, évoquant la nécessité d'être escortés par des agents de sécurité jusqu'au RER pour éviter les agressions. Une employée décrit des rencontres avec des "personnes souvent droguées, dans un état second", ajoutant : "On m’a abordée, je me suis fait taxer et les agents sont intervenus".

La présence sécuritaire, bien que visible, ne suffit plus à rassurer face à des individus aux "capacités mentales" altérées.

Le départ de ces deux enseignes majeures constitue un coup dur pour l'attractivité et la vitalité économique du quartier, posant un défi majeur aux autorités municipales pour enrayer cette spirale négative.