Il déplore qu'"un logement sur 7 à Paris Centre est Airbnb", une situation qui, selon lui, contribue à la baisse du nombre d'habitants et à la tension sur le marché locatif.

Le candidat d'Horizons propose également de "créer des quartiers étudiants" pour répondre aux besoins spécifiques de cette population. De son côté, Emmanuel Grégoire, candidat socialiste, met l'accent sur la production de logements sociaux. Il critique vivement l'absence de logements sociaux dans le 7e arrondissement, géré par sa rivale Rachida Dati. Ce débat met en lumière les visions divergentes pour l'avenir de la capitale : d'un côté, une volonté de réguler fortement le marché pour préserver le parc de logements permanents, et de l'autre, une critique de la politique de préemption et de transformation en logements sociaux menée par la majorité actuelle. La question du logement s'annonce donc comme un terrain d'affrontement central où se cristallisent les différentes approches politiques pour l'avenir de Paris.