Elle fustige cette situation en déclarant : "Tous les ans, l'État nous pique de l'argent" et "L'Île-de-France vache à traire, ça suffit".

Cette "saignée" contraint la région à des économies et à "gratter chaque centime", recentrant le budget 2026 sur ses prérogatives essentielles.

Malgré ce contexte difficile, une priorité est accordée à l'éducation, avec une augmentation des montants alloués à ce secteur.

Cette crise budgétaire met en lumière la tension croissante entre les collectivités locales et le pouvoir central sur la question des ressources financières. La présidente de la région Île-de-France exprime un sentiment d'injustice face à ce qu'elle perçoit comme un traitement inéquitable, soulignant que la contribution demandée aux collectivités par le gouvernement pèse lourdement sur la capacité d'investissement et de fonctionnement de la plus grande région de France.

La situation illustre les défis auxquels sont confrontées les régions pour maintenir les services publics tout en faisant face à des contraintes financières imposées par l'État.