L'acte de vandalisme, survenu à un moment symboliquement fort, a été perçu comme une attaque contre les valeurs qu'il incarnait. L'interpellation rapide d'un suspect de 23 ans a permis de faire avancer l'enquête.

Sa garde à vue doit permettre de déterminer les motivations derrière cet acte et d'établir s'il a agi seul ou avec des complices. L'affaire met en lumière la vulnérabilité des lieux de mémoire et la persistance d'actes de vandalisme visant des figures historiques ou des symboles républicains. La résolution de cette affaire est attendue pour comprendre les ressorts d'un tel geste et pour que la justice puisse répondre à cette offense faite à la mémoire de Robert Badinter.